Je suis moi,
Et je tue le rythme à vos oreilles empruntées.
Je cherche l’esthétique de mon style
Dans la beauté de sa cause,
J’empile les mots
Comme un tas de rien,
Et je crache à vos yeux un chaos,
dont le fond et la couleur
ne rythment pas à vos refrains.
Je suis moi,
Et je résiste à la tentation de vous plaire
de succomber un jour dans le vide des mots,
et le croassement des perroquets.
Anathème!
Oh anathème..!
Je me réjouis de ce blasphème,
Tant que je serai moi.
Quant à vous,
Je vous plains…
nicot pierre.